En ce doux weekend de juin où température et le sol c’est de la lave ne font qu’un, parce que la clim’ y est bonne mais aussi parce que je n’avais pas tout compris, j’ai décidé de retourner au musée. Manque de bol pas de chance, ils avaient changé les tableaux. C’est donc excité tel Jul au salon de l’auto-tune que j’ai récemment (re)poussé les portes automatiques de l’institut d’art de Chicago. Stupeur et tremblement au pays de la gouache.
Dans un monde où tout fout le camps et où même Dumbledore a préféré prendre la poudre de perlimpinpin et nous quitter plutôt que d’assister au déclin de sa propre espèce, il nous est encore possible de trouver refuge auprès des animaux, eux qui n’ont pour unique soucis celui de savoir si c’est plus rentable de se gratter l’oreille avec la patte gauche ou droite, et comme seul préoccupation de faire plus de vues sur YouTube que le panda qui éternue. C’est donc sous les conseils avisés du philosophe Martin Garrix que je suis parti à leur rencontre au zoo de Chicago (et aussi parce que c’était gratuit, donc de fait moins cher).
C’est excité tel Emmanuel Macron au salon du mégaphone que j’ai récemment poussé les portes automatiques de l’institut d’art de Chicago. C’était très joli, j’ai pas tout compris mais c’était très joli. Je vous fais donc part de ces instants poterie & coloriage, snapés comme jamais #HomoSnapienSnapien