Dans un monde où tout fout le camps et où même Dumbledore a préféré prendre la poudre de perlimpinpin et nous quitter plutôt que d’assister au déclin de sa propre espèce, il nous est encore possible de trouver refuge auprès des animaux, eux qui n’ont pour unique soucis celui de savoir si c’est plus rentable de se gratter l’oreille avec la patte gauche ou droite, et comme seul préoccupation de faire plus de vues sur YouTube que le panda qui éternue. C’est donc sous les conseils avisés du philosophe Martin Garrix que je suis parti à leur rencontre au zoo de Chicago (et aussi parce que c’était gratuit, donc de fait moins cher).