Une journée chez les peintres – le retour des pinceaux

En ce doux weekend de juin où température et le sol c’est de la lave ne font qu’un, parce que la clim’ y est bonne mais aussi parce que je n’avais pas tout compris, j’ai décidé de retourner au musée. Manque de bol pas de chance, ils avaient changé les tableaux. C’est donc excité tel Jul au salon de l’auto-tune que j’ai récemment (re)poussé les portes automatiques de l’institut d’art de Chicago. Stupeur et tremblement au pays de la gouache. 

 

unfrenchie

Etudiant lyonnais explorant sa candeur face à Chicago, il me prends le temps de discuter sur les tenants et aboutissants d'un tel périple : Ses prairies, ses étendues de végétation luxuriante, ses 12 millions de vaches grimpant aux termitières, sa cuisine raffinée et ses mets sans gluten, ses petits pouce-pouce arpentant les sinueuses favelas, les puits d'eau de source, ses habitants affamés au dialecte presque oublié, sa faune et sa flore locale, son économie de fortune, ses peintures rupestres où l'on devine une attaque de CBO et où l'on peut lire "un big macus maximus offertus" le tout entre deux hummer et un Starbuck. Plus de doute, je suis bien en terrain connu.

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