En ce doux weekend de juin où température et le sol c’est de la lave ne font qu’un, parce que la clim’ y est bonne mais aussi parce que je n’avais pas tout compris, j’ai décidé de retourner au musée. Manque de bol pas de chance, ils avaient changé les tableaux. C’est donc excité tel Jul au salon de l’auto-tune que j’ai récemment (re)poussé les portes automatiques de l’institut d’art de Chicago. Stupeur et tremblement au pays de la gouache.