Arnaques, crimes et zoologie

Dans un monde où tout fout le camps et où même Dumbledore a préféré prendre la poudre de perlimpinpin et nous quitter plutôt que d’assister au déclin de sa propre espèce, il nous est encore possible de trouver refuge auprès des animaux, eux qui n’ont pour unique soucis celui de savoir si c’est plus rentable de se gratter l’oreille avec la patte gauche ou droite, et comme seul préoccupation de faire plus de vues sur YouTube que le panda qui éternue. C’est donc sous les conseils avisés du philosophe Martin Garrix que je suis parti à leur rencontre au zoo de Chicago (et aussi parce que c’était gratuit, donc de fait moins cher).


C’était très zooli :

Et en bonus, il paraîtrait qu’ils ont construit le zoo autour de lui (la fin va vous étonner !) :

 

Sur ce, une grosse pensée à tous les boeufs qui se retournent dans leur tombe enclos pendant que les beaufs retournent leurs grillades.

Mammifère & Stratosphère,

Paul Tandniaiser (AKA Jules les jours de RTT)

unfrenchie

Etudiant lyonnais explorant sa candeur face à Chicago, il me prends le temps de discuter sur les tenants et aboutissants d'un tel périple : Ses prairies, ses étendues de végétation luxuriante, ses 12 millions de vaches grimpant aux termitières, sa cuisine raffinée et ses mets sans gluten, ses petits pouce-pouce arpentant les sinueuses favelas, les puits d'eau de source, ses habitants affamés au dialecte presque oublié, sa faune et sa flore locale, son économie de fortune, ses peintures rupestres où l'on devine une attaque de CBO et où l'on peut lire "un big macus maximus offertus" le tout entre deux hummer et un Starbuck. Plus de doute, je suis bien en terrain connu.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *